Bonne année, meilleurs vœux, tout ça machin et surtout… la santé ! Sauf que, avant de se projeter en 2010, m’est venue une furieuse envie de regarder… derrière nous. Direction l’année 2003, pour ce qui pourrait constituer le premier épisode d’une saga (que j’espère) trépidante, sur les disques du grenier. Ou de la cave, voire du carton plein de vieilleries qui dort sous votre lit. Si si, on en a tous un !
Vous savez, ces disques que l’on a oubliés, ou ratés. Parce que cette année-là, 250 autres galettes valaient plus la peine. C’est donc le moment de le redécouvrir.
Et pour ce premier numéro des disques du grenier, je suis tombé sur Vaux. Un groupe inconnu au bataillon, même si son nom est le même que plusieurs municipalités françaises, comme celle-ci ou encore celle-là.
Bref, le veau c’est bon, c’est connu… Mais le Vaux, ben… c’est assez goûtu aussi. Du moins cet album, intitulé « There must be some way to stop them ».
Les membres du groupe, qui proposent ici une sorte de post punk gentiment musclé et un poil torturé, sont peut être un tantinet poseurs, mais bon…. De toutes façons, ils ont splité depuis (en 2007). Quant à leur label : Volcom entertainement (j’ai d’ailleurs découvert à cette occasion que Volcom produisait des artistes ?!) et bien, je ne sais pas s’il continue à entretenir une écurie de jeunes loulous à guitares… Anyway, play it fucking load !
Cadeau bonux : Set it blow en live.